Guérisons de boulimie
Guérison des troubles de l'alimentation
Monsieur D. M. (32 ans), Francfort (Allemagne )
En 1983, j'ai remarqué que mon comportement alimentaire était perturbé, car je mangeais tellement, par exemple un pain entier, 250 g de fromage avec un demi-litre de yaourt, que je devais me coucher ensuite avec des maux de ventre. Cet état s'aggrava au fil des années. Finalement, j'avais l'habitude de manger presque un demi-kilo de pain, 250 g de fromage et un demi-litre de yaourt à midi. Le soir, juste après le travail, je mangeais un paquet (20 morceaux) de bonbons au chocolat que j'avalais déjà sur le chemin du retour, un demi-kilo de flan au chocolat, 2 coupes de riz au lait de `200 g chacune, et le reste du pain de midi. Afin de me libérer de cette forte pression dans mon estomac, je vomissais souvent la nourriture. Après un séjour à l'hôpital en 1989, je fus déclaré inapte au travail pour cause d'épuisement dépressif grave avec trouble prononcé du comportement alimentaire, et la mise à la retraite anticipée s'annonçait. Entre-temps, j'avais aussi des pensées de suicide, parce que je ne voulais plus vivre de cette façon.
Après l'initiation à l'enseignement de Bruno Gröning en décembre 1989, les pensées de suicide ont disparu en premier lieu. Depuis le mois d'avril 1990, je suis guéri. Je n'ai plus de boulimie et je suis à nouveau un homme actif. La retraite anticipée a été annulée et je suis à nouveau engagé dans la vie professionnelle.
Heilung von Bulimie
K. M. (26), Wien (Österreich)
Enttäuscht vom Leben, der Liebe und von mir selbst flüchtete ich vor mir selbst nach England. Hier trat ich im Spätsommer 1999 eine Stelle als Au-pair in einer Londoner Vorstadt an. Nach all den Anstrengungen und belastenden Ereignissen der ersten Jahreshälfte dachte ich, ein Jahr Auszeit würde mir guttun. Von diesem Jahr im Ausland erhoffte ich mir viel: Klarheit für meine beruflichen Zukunftsvisionen, Ordnung für meine privaten und gesundheitlichen Angelegenheiten.
Essen statt Liebe
Bald entdeckte ich einen Ersatz für die fehlende Liebe in meinem Leben – Essen. Es fühlte sich so an, als ob ich damit den Schrei in mir ein wenig stillen könnte. Ich stopfte mich mit allem möglichen Essbaren nur so voll, um hinterher total unglücklich zu sein: Der Selbstbetrug führte schließlich dazu, dass ich mich total unzufrieden fühlte – mit meiner Situation und meiner Figur. Also erbrach ich immer wieder, was ich gegessen hatte, um mich hinterher wieder vollzustopfen. Die Aggression gegen mich selbst wuchs.
